Dans son édition nationale, L'Express consacre cette semaine plusieurs pages à Grenoble, "numéro 1 des villes de France où il fait bon étudier".
Côté ambiance, Laurence Debril, qui signe le sujet, a visiblement été séduite par l'image du jeune étudiant croisé dans le tramway, direction "Condillac / Universités", le surf dans une main, la pochette de cours dans l'autre…
"La légende est donc vraie, écrit-elle : à Grenoble on dérape facilement des bancs de la fac aux pistes de ski… et inversement".
L'Express et L'Etudiant ont mené leur enquête dans les 34 agglomérations de France qui comptent plus de 10 000 étudiants. Grenoble y prend la première place dans la catégorie "sports" et se classe en 2e position (derrière Paris, mais devant Lyon) pour son "rayonnement international".
"75% des 60 000 étudiants viennent de l'extérieur, (…) parmi eux plus de 150 nationalités différentes", souligne l'Express.
L'offre de formation bien sûr (Grenoble au 5e rang national), mais aussi la culture et les transports figuraient parmi les thèmes retenus pour ce classement.
Pour expliquer la réussite de notre ville, la journaliste parle du "triomphe de l'esprit montagnard : se dépasser, travailler ensemble…"
Ce sentiment, je le partage, bien évidemment, tout autant que les arguments avancés dans cette enquête qui placent Grenoble en tête du palmarès national.
Ces mêmes arguments qui plaident aujourd'hui pour notre candidature aux Jeux Olympiques d'hiver 2018. Où sports, culture, innovation et ouverture internationale viennent se conjuguer au passé, au présent et au futur pour une candidature naturelle de notre ville.